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Vague violette: d’une grève à l’autre, de 11 à 75 ans, elles racontent leur féminisme

Il y a eu la timide grève de 1991, la vague violette de 2019 et désormais les rêves à portée de main pour demain. En ce 14 juin 2021, retour sur l’évolution de l’engagement féministe en Valais avec trois générations de militantes.

14 juin 2021, 05:30
Mélie Fournier, Cilette Cretton et Constance Lambiel ou le féminisme militant valaisan en trois visages et trois générations.

Elles sont trois mais pourraient être des milliers. Il y a les pionnières d’hier, les collectifs d’aujourd’hui et les rêves pour demain. Il y a Cilette Cretton, Constance Lambiel et Mélie Fournier. Trois femmes. Trois féminismes. Un combat.

A 75, 43 et 11 ans, ces trois générations prouvent que la lutte pour l’égalité n’a pas d’âge. Ni de forme. Et encore moins de barrière. De la timide grève des femmes de 1991 à l’appel pour un avenir meilleur, en passant par la déferlante violette d’il y a deux ans, retour sur l’évolution du militantisme féministe valaisan.

1991: faire sa place

Cilette Cretton est née trois mois après l’armistice de 1945. Sa révolte se nourrit à la vision de ses parents, tous deux enseignants. «Ils faisaient le même métier mais papa était plus payé. Alors que maman s’occupait en plus du ménage.» Voilà comment naît un combat.

Un engagement qu’elle mènera...

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