Comme le dit le philosophe Charles Pépin dans son ouvrage «Les vertus de l’échec», «accepter de rater ne veut pas dire que l’on est un raté».
Les FuckUp Nights (nuits de l’échec), qui ont pour but précisément de démystifier les échecs dans une ambiance détendue, arrivent en Valais.
La première valaisanne de ce concept né au Mexique aura lieu jeudi à Monthey. Cette soirée est mise sur pied par la Maison blanche, un espace de coworking basé à Monthey, et Neurhone, une association voulant promouvoir l’innovation et la créativité dans le canton. Président de Neurhone, qui organise déjà le TEDxMartigny et les Carnotzets scientifiques valaisans, Johann Roduit explique la démarche des nuits de l’échec.
Que proposez-vous concrètement avec votre soirée?
Quatre personnes viendront raconter jeudi leur réussite, mais aussi un échec professionnel, et ce qu’elles en ont retiré.
Comment est née l’idée d’une telle manifestation?
J’ai assisté à une FuckUp...