Frédéric Favre n’aura pas mis longtemps pour reconnaître son erreur et affirmer que sa relation avec les médias ne changera pas. Car la directive interne pour ses services signée par ses soins va beaucoup trop loin en matière de liberté de la presse : sujets sensibles soumis à l’Etat avant publication, questions à ses services adressées uniquement par écrit ou encore date de publication ou de diffusion annoncée à l’avance. Bref, des mesures inadmissibles dénoncées aussi bien sur la toile que par l’association de la presse valaisanne.
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Mais, si le conseiller d’Etat PLR a avoué « avoir mal contrôlé le texte au moment de signer la directive », le plus grave est surtout qu’un membre de son état-major puisse imaginer un organe public comme un canton avoir des relations avec les médias de cet ordre-là en 2021. Au final,...