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Un scénario à ne plus reproduire

La Cogest estime que Jean-Marie Cleusix aurait dû être licencié, mais comprend la décision compte tenu de la législation en vigueur.

18 avr. 2017, 23:22 / Màj. le 19 avr. 2017 à 00:01
St-Leonard (VS), le 24.05.2014. 

Assemblée Générale de la Société Pédagogique Valaisanne (SPVAL) à St-Leonard en présence de nombreux membres et du Conseiller d'etat en charge de l'instruction publique, Oskar Freysinger, en compagnie de son chef de service Jean-Marie Cleusix(sur la photo)

Christian Hofmann/Le Nouvelliste

L’affaire de la démission de Jean-Marie Cleusix qui a débouché sur un rapport de la commission de gestion (Cogest) sera finalement traitée au Grand Conseil lors de la session de mai en l’absence du conseiller d’Etat concerné, Oskar Freysinger, non réélu. Mais cela n’empêchera pas la Cogest de demander au nouveau gouvernement des modifications de loi pour que ce scénario ne se reproduise plus.

«Choqués du non-licenciement»

En effet, Marianne Maret, nouvelle présidente de la commission de gestion du Parlement ne mâche pas ses mots. «Nous sommes choqués que l’on n’ait pas pu procéder au licenciement de Jean-Marie Cleusix, mais, compte tenu de la législation en place, nous comprenons la décision prise de le transférer au collège de Saint-Maurice. Elle est la moins dommageable pour l’Etat.» Voilà, résumée en une phrase, la position de la commission de gestion.

Le rapport Spoerri «suffisamment éloquent»

Pour celle-ci, le rapport qu’avait demandé le...

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