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Bernard Vogel succède à Bruno Bagnoud à la tête d’Air Glaciers

Le Haut-Valaisan Bernard Vogel devient le nouveau directeur d’Air Glaciers. Ancien directeur d’Air Zermatt, il dirige actuellement la caisse cantonale de compensation. Il sera accompagné au comité de direction par Patrick Fauchère et Ludovic Sierro, actuels membres du management d’Air Glaciers.

04 avr. 2020, 19:35
Bernard Vogel sera le nouveau directeur d'Air Glacier. Actuellement, il dirige la caisse cantonale de compensation.

Depuis samedi, Air Glaciers a un nouveau directeur. Ancien dirigeant d’Air Zermatt de 2000 à 2011, Bernard Vogel succède donc à Bruno Bagnoud à la tête de la compagnie de sauvetage. Il dirigera la société en compagnie de Patrick Fauchère et de Ludovic Sierro, tous les deux membres du management actuel d’Air Glaciers. «A Air Zermatt à l’époque, il avait déjà restructuré la société. En 2011, il a été engagé à la caisse cantonale de compensation avec le même objectif. Nous estimions qu’il était la personne idéale pour Air Glaciers. Et il a accepté assez rapidement ce nouveau défi professionnel», explique Philippe Perren, président d’Air Zermatt et qui devient donc président d’Air Glaciers après avoir repris les parts de Bruno Bagnoud au sein de la société. 

Bruno Bagnoud président d’honneur

Comme déjà annoncé, ce dernier devient président d’honneur d’Air Glaciers «pour récompenser ses mérites en tant que fondateur d’Air Glaciers et pionnier du sauvetage aérien en Valais et ailleurs.» Pour Philipp Perren, «cette nomination se veut être une reconnaissance bien méritée pour le travail extraordinaire de Bruno Bagnoud et pour son engagement hors du commun d’un pionnier de l’aviation en Valais.» 

Un conseil de quatre membres

Le conseil d’administration sera lui composé de quatre personnes. En plus de Philipp Perren, on retrouve l’ancien conseiller d’Etat haut-valaisan Jean-Michel Cina, et aussi deux anciens présidents du Grand Conseil: le bagnard Jean-Albert Ferrez président de Téléverbier et administrateur de la BCVs et Albert Bétrisey d’Ayent, agent général de l’Helvétia pour le Bas-Valais. «Nous ne les avons pas pris pour leur passé de politiciens, mais pour leurs compétences professionnelles. Après notre première séance de samedi, je peux dire que je suis ravi», explique le président.

 

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