Benoît Aymon, le rôle de directeur du FIFAD, un costume taillé sur mesure?
Erhard Loretan m’avait dit, « un jour il faudra que tu reprennes le FIFAD ». Je lui avais répondu que ce n’était pas le bon moment, j’avais trop d’autres projets en cours. Mais je n’ai jamais oublié ce qu’il m’avait suggéré. Et cette fois, lorsqu’on m’a approché, il y avait un alignement des planètes comme on dit. On fêtera en novembre les 25 ans de Passe-moi les jumelles et l’an prochain, je prendrai ma retraite. Diriger le FIFAD par la suite, ce sera à une sortie en douceur…
En 2018, le FIFAD fêtera ses 50 ans, l’occasion de lui donner une nouvelle orientation?
Dans le mot festival, il y a le mot fête. 50 ans, ce n’est pas un anniversaire anodin. Ce sera l’occasion d’inviter de grosses pointures de la montagne. Jean-Philippe Rapp avait mis la barre...