Cette année, Pâques s’est fêtée sur le tard. La dernière fois qu’on a dû attendre aussi longtemps pour aller à la chasse aux œufs, c’était en 2011 (le dimanche pascal tombait un 24 avril). Une configuration du calendrier qui impacte forcément l’affluence dans les stations valaisannes. «On ne peut évidemment pas choisir, il faut faire avec», commente en toute logique Damian Constantin, directeur de Valais/Wallis Promotion. «Ce n’est pas l’idéal sur le plan touristique, mais comme ça varie d’une année à l’autre, tout s’équilibre sur le moyen terme.»
Reste que les conditions étaient particulièrement bonnes cette année. Si aucun chiffre n’est encore disponible, Damian Constantin a le sentiment que les amateurs de glisse n’ont pas boudé leur plaisir: «Les stations de haute altitude ont probablement réussi à tirer leur épingle du jeu. Je suis allé à Verbier vendredi, le parking était bien rempli et les pistes peuplées. Ça parlait français,...