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Self-love day, la chronique d'Anouk Schauenberg

14 févr. 2018, 05:30
Anouk Schauenberg, étudiante.

Mais quel jour sommes-nous donc? Mercredi, oui mais encore? Allez, je vous donne un indice: promotions sur les sous-vêtements, prolifération de boîtes de chocolats en forme de cœur ou encore programmation de comédies romantiques au cinéma. Hé oui, aujourd’hui c’est la Saint-Valentin, autrement dit le seul jour de l’année qui est hyper mignon pour les couples, mais mortellement ordinaire pour les célibataires.

Loin de moi l’idée de critiquer cette fête; j’ai toujours trouvé que c’était une chouette occasion pour les amoureux de se déclarer (à nouveau) leur amour et de passer un moment différent ensemble. Et pour ceux criant à une arnaque commerciale: un «je t’aime» ne coûte pas un sou, je vous le rappelle. Quoi qu’il en soit, la Saint-Valentin n’est pas réellement le sujet de mon propos aujourd’hui. Je vous explique: étant récemment passée du côté obscur de la force (comprenez: je ne recevrai pas de rose aujourd’hui),...

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