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«Savoir qu’on n’est pas seul à vivre un burn-out fait du bien»: des Valaisans témoignent

Un café partage sur l’épuisement professionnel est né à Monthey il y a quelques mois. Des personnes concernées, tant des hommes que des femmes, y expriment leurs ressentis en toute liberté. Reportage.

22 mai 2019, 11:00
Selon Promotion Santé suisse, un quart de la population ressent un épuisement professionnel. Le mal touche tant les hommes que les femmes. Toutes les générations sont concernées.

Les participants prennent peu à peu place sur des fauteuils placés en rond. Tant des femmes que des hommes. «Depuis la création de notre café partage sur le burn-out en octobre, nous avons constaté que de nombreux hommes viennent pour confier ce qu’ils vivent. Cela montre que ce ne sont pas que les femmes qui peuvent subir un épuisement professionnel, contrairement à la croyance populaire», remarque Marianne Défago, fondatrice et animatrice de ce café partage à Monthey. Comme le burn-out n’est pas un diagnostic reconnu à ce jour, il échappe aux statistiques. Promotion Santé suisse note cependant qu’un quart de la population active dit ressentir un épuisement.

Toutes les générations touchées

Par ailleurs, il n’y a pas d’âge pour vivre un burn-out. Le mal touche toutes les générations. En cette séance de mai du café partage, des personnes de 20 à 60 ans sont là pour le prouver. En début...

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