Romaine Jean, les JO 2026, c’est fini. Etes-vous toujours employée de l’Association suisse pour l’organisation de ces jeux?
Non, Sion 2026 est bien derrière moi. La décision de dissolution de l’association a été prise officiellement début juillet et un liquidateur a été nommé.
Qu’est-ce qui avait fait que la rédactrice en chef, productrice et journaliste à succès a décidé de passer de l’autre côté pour se lancer dans la communication de cette aventure?
Je pensais et pense toujours que le canton a besoin de grands projets pour se réformer. Je suis une passionnée qui aime les défis et je les utilise pour avancer. Alors oui, il y a de grandes ambitions dans ce canton, avec le campus EPFL, la constituante ou encore les projets de transport sous vide à haute vitesse. Cependant, je suis persuadée que le sport est un formidable accélérateur social. Sion 2026 drainait avec lui des projets...