Comme le Valais a dit clairement non aux JO à 54%, le milliard de la Confédération ne reviendra pas à notre canton. Ni pour le Lötschberg ni pour le financement des cours de ski pour les enfants qui devront trouver d’autres majorités politiques au Parlement fédéral et d’autres financements.
Le Valais post-JO doit, lui, se trouver d’autres grands projets et se poser une question: pourquoi uniquement des communes touristiques ont-elles soutenu ce projet? Parce qu’elles ont plus conscience de l’impact planétaire qu’aurait pu avoir pareil événement. Parce qu’une majorité du Valais n’a pas réellement compris qu’il est à vocation touristique et doit en profiter. Ou parce qu’aujourd’hui l’organisation des JO fait trop peur tant qu’il n’aura pas été démontré dans les faits qu’ils peuvent ne pas ressembler à ceux des dernières éditions. La réponse se trouve en partie dans la réunion de ces trois constats.
Reste à savoir ce qui...