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«Rester vivant». La drôle de semaine de Joël Jenzer

12 oct. 2018, 20:00
Joël Jenzer, journaliste.

C’est vendredi prochain que l’événement culturel le plus attendu de la francophonie se déroulera: la sortie de l’album posthume de Johnny Hallyday. Pour les spécialistes de la branche, c’est un carton assuré, la meilleure vente de l’année, garantie d’avance. Ce n’est pas nouveau: dès qu’un artiste reconnu est mort, la courbe de ses ventes prend l’ascenseur. Demandez à Elvis Presley ou à Claude François si vous les croisez à Halloween. Ou à Garou… Ah, non, lui n’est pas mort et il ne vend pas.

Pour le cas de Johnny, ce 51e album est présenté partout comme le disque qui lui a permis de se battre et de tenir le coup durant les mois qui ont précédé sa disparition. Pourtant, eu égard aux histoires de famille qui entourent la sortie de cette galette – guerre entre Laetitia et les enfants du rocker au sujet d’un droit de regard refusé sur cette...

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