Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Remontées mécaniques et coronavirus, l’impossible distance de sécurité aux heures de pointe

Seul loisir de masse autorisé, le ski fait beaucoup parler de lui. Des images de gens agglutinés circulent régulièrement sur les réseaux sociaux. Lors du dernier week-end, nous sommes allés vérifier dans quatre stations du Valais si les mesures de protection étaient respectées.

22 févr. 2021, 18:00
Malgré mesures et contrôles, les distances de sécurité entre usagers est difficile à faire respecter, comme ici, ce samedi, au départ de Tracouet.

Contrairement aux bains ou aux centres sportifs, le ski est autorisé. «C’est le seul loisir qui nous reste», affirme un jeune Vaudois croisé à Nendaz. Mais cette exception est parfois critiquée. Photographies à l’appui, certains émettent des doutes quant à l’application des règles de sécurité.

«Le Nouvelliste» a donc chaussé ses skis sur deux jours, entre Nendaz, Verbier, Crans-Montana et Anzère, pour vérifier sur le terrain ce qu’il en était. Si la situation n’est pas parfaite, les principales mesures sont respectées. Les distances de sécurité, cependant, sont difficiles à faire appliquer.

Manque de discipline

Au pied de chaque installation, le dispositif est similaire: des barrières pour endiguer les files et des panneaux qui rappellent l’obligation de porter le masque et de respecter une distance de 1 mètre 50 entre chacun.

A Crans-Montana, malgré un dispositif complexe, plus la file s’approche des cabines, plus elle se resserre.

Si les dispositifs se...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias