Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Religieusement ou non, ils font toujours le carême en 2019

Les quarante jours de privation qui mènent vers Pâques sont toujours bien suivis en Valais. Sacrifices et motivations, ils témoignent.

08 avr. 2019, 12:00 / Màj. le 09 avr. 2019 à 12:00
A chacun sa manière de faire carême.

«C’est en Valais que c’est le plus facile à expliquer.» Mathias Reynard est au régime sec (sans alcool) depuis le mercredi des Cendres. Ça a été difficile pendant la dernière session parlementaire à Berne, durant laquelle il s’est senti un peu esseulé, dans sa «montée vers Pâques».

Passé de mode chez les politiciens

S’il y a quelques années encore, la mode était aux quarante jours sans alcool sous la coupole fédérale – histoire, surtout, de se refaire une santé et de poser quelques kilos – le conseiller national fait aujourd’hui figure d’exception. «Disons que je le suis en bon catholique mais que c’est aussi une bonne coupure après les excès de carnaval. Petit, je faisais le carême des bonbons et ce genre de choses, mais cela fait quelques années que j’ai pris l’habitude de me passer d’alcool et mon corps m’en remercie», explique le Saviésan gardien des traditions.

Accoudé, mais...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias