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Rachat de Provins par Fenaco: les réactions du milieu de l’économie viticole

Résultat d’un vote démocratique, le rachat de Provins par Fenaco et son changement de statut, de coopérative en SA, n’est pas remis en cause dans les milieux vitivinicoles. La solidité financière de Fenaco rassure, mais on s’interroge tout de même sur la gestion qualitative de la production.

16 avr. 2020, 19:35
C'est fait. Provins passe en mains de Fenaco et devient une société anonyme.

Face au choix des sociétaires, les réactions des divers milieux sondés sont unanimes. Ils respectent cette décision prise de manière démocratique, même si on regrette encore à mi-voix que le conseil d’administration de Provins n’ait proposé aucune autre option face à Fenaco.

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Les moyens financiers de Fenaco rassurent

Connu pour son franc-parler, le président de la Fédération valaisanne des vignerons, Pierre-Antoine Héritier, lâche: «C’est une meilleure solution qu’une faillite ou que de continuer avec la même équipe de losers. Par rapport aux conseils d’administration de ces vingt dernières années, Fenaco ne peut faire que mieux.»

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Lui qui s’investit à fond pour la défense des intérêts des vignerons relève: «Vu les liquidités dont dispose Fenaco, Provins SA devra permettre à ses vignerons de...

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