Pour être transparents envers les sociétaires, ils avaient tenu à dévoiler les contours de leur solution. La famille Rouvinez était derrière l’une des quatre offres soumises au conseil d’administration de Provins, pour tirer cette dernière de sa mauvaise situation financière.
Comme nous vous le révélions il y a quelques semaines, cette solution n’avait finalement pas été retenue, au profit de l’offre de reprise du géant agricole Fenaco, qui est aujourd’hui entre les mains des sociétaires de Provins. Alors que ces derniers ont jusqu’au 14 avril pour se prononcer par correspondance et que la crise du coronavirus n’épargne pas l’économie viticole, rien n’a vraiment changé pour les Rouvinez. «Notre offre appartient au passé, mais en cas de catastrophe le 16 avril, nous serons là pour aider à construire une autre solution.»