Jean-Michel Cina, c’était plus facile d’être conseiller d’Etat que président de la SSR non ?
Les deux mandats sont intéressants et hautement complexes. Mais il est vrai que j’avais peut-être sous-estimé l’ampleur du défi en arrivant à la SSR. Il a fallu tout de suite s’atteler à la campagne No Billag, qui a commencé très tôt, en plus d’appréhender l’univers médiatique que je ne connaissais que de l’extérieur. Cela a commencé sur les chapeaux de roue et 2018 sera une année décisive pour l’entreprise. A condition que No Billag soit refusée et que nous ne devions pas démanteler la SSR, les prochains mois seront consacrés aux réformes à venir et notamment à un plan d’économie et de réinvestissement important.
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Vous parlez d’économies à faire et pourtant on n’a cessé d’entendre durant cette campagne que la SSR n’avait pas de plan...