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Près de quarante jeunes de la FOVAHM sont intégrés individuellement dans les entreprises (3/5)

Depuis 2006, les adultes de la FOVAHM peuvent travailler dans l’une des entreprises du canton acceptant d’engager une personne avec handicap mental. Tant l’employé que l’employeur y gagnent.

12 oct. 2017, 13:06 / Màj. le 13 oct. 2017 à 05:30
Jean-Claude Schwartz travaille chez Provins depuis quelque temps. Avec bonheur.

Mission: devenir un travailleur intégré sans le soutien quotidien d’un maître socioprofessionnel. Trente-neuf personnes de la FOVAHM (Fondation valaisanne en faveur des personnes handicapées mentales) tentent d’y parvenir par leur activité professionnelle dans près de trente entreprises du canton ouvertes à les accueillir. «Les métiers proposés concernent aussi bien les personnes intéressées aux professions manuelles, de contact ou un peu plus intellectuelles», explique Emmanuelle Léonard, responsable de «Plateforme» et du centre de formation des jeunes adultes de la FOVAHM.

En dix ans, le nombre d’entreprises a été multiplié par dix-sept

Ce projet, appelé «Plateforme», existe depuis 2006. Il est unique en Suisse sous cette forme, mais serait impossible à réaliser sans l’esprit d’ouverture des patrons participants. «La première année, nous n’avions que deux entreprises, puis nous avons augmenté au fil des ans en fonction des intérêts de nos jeunes», précise Emmanuelle Léonard, qui ne cache pas son enthousiasme.

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