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Il faudrait une pilule pour tout, la chronique de Marie-Antoinette Gorret

23 août 2017, 16:02
/ Màj. le 23 août 2017 à 17:15
Marie-Antoinette Gorret, plasticienne.

Voilà, les vacances sont terminées, les belles villes, les belles régions, la mer et les pays pas chers ont avalé la pilule «touristes» et supportent tant bien que mal ses effets secondaires: montagne d’invendus, colline de déchets, feux de forêts, lits froids ou requins nourris.

L’expression «avaler la pilule» est claire, on l’a dit quand on a subi un mauvais traitement sans broncher, ou que l’on a bien voulu croire un truc absurde, ou simplement, digéré un mensonge bien épicé. Mais l’avaler ce n’est pas la même chose que de la prendre.
Les pilules font partie de notre quotidien.

Tu as pris la pilule? La question qui tue. Bienheureuse pilule qui, femmes, nous a libérées des angoisses mensuelles et hommes, protégés des couches-culottes trouble-budget.

Depuis quelques années il y en a une plus coquine, bleue, qui muscle les petites voitures et qui est très utile les soirs où l’aspirine n’est...

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