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«Le Nouvelliste» et le «Walliser Bote»: les enjeux d’un partenariat

Vincent Fragnière évoque les enjeux du nouveau partenariat entre «Le Nouvelliste» et le «Walliser Bote».

22 mars 2019, 15:30
Vincent Fragnière, rédacteur en chef du «Nouvelliste».

Le Haut et le Bas-Valais possèdent tout au plus deux cultures qui se tolèrent. Depuis l’ouverture du Lötschberg, le fossé entre les deux parties du canton s’est agrandi avec un Haut-Valais qui est de plus en plus aspiré vers Berne. Ou encore la stagnation démographique haut-valaisanne a crispé les relations entre les deux parties du canton. 

Face à ces constats – dont l’ampleur est encore à vérifier – «Le Nouvelliste» et le «Walliser Bote» ont décidé d’agir. Dès aujourd’hui, ils créent un partenariat éditorial qui poursuit un objectif prioritaire: permettre aux habitants des deux régions linguistiques de mieux se connaître et se comprendre. Sans occulter les enjeux et les intérêts qui les opposent.

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En 2005, le Grand Conseil avait refusé un postulat qui demandait le financement d’une étude sur les avantages et les inconvénients de la création de deux demi-cantons. Aujourd’hui, c’est la constituante qui redéfinira les relations institutionnelles entre les deux parties du Valais. 

Et les deux quotidiens cantonaux ont décidé d’apporter leur contribution à cette réflexion en échangeant, deux fois par mois, leurs points de vue. Pour commencer, car cette aventure journalistique commune laisse augurer de belles promesses.
 

 

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