Dans votre billet publié par la «Revue hôtelière», vous dénoncez «un désintéressement progressif des membres pour leur association». Comment l’expliquer et y remédier?
C’est un problème qui n’est pas propre à l’hôtellerie mais que rencontrent la plupart des associations professionnelles. Les hôteliers sont la plupart du temps la tête dans le guidon, trop occupés à gérer leurs établissements au quotidien. L’intérêt pour leur association professionnelle passe très souvent après leurs problèmes. C’est donc à leur association de se renouveler pour leur offrir un nouveau centre d’intérêt qui colle à leurs préoccupations.
Qu’attendez-vous de la «vaste réflexion» qui a été confiée à un groupe de travail composé d’hôteliers âgés de 24 à 44 ans?
C’est justement aux jeunes de définir quels sont les services que la nouvelle génération attend de leur association. C’est la mission de ce groupe de travail de profiler leur association de demain et les services que les...