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Parker: il leur a fallu du talent oui, mais aussi de l'audace aux Valaisans qui ont l'honneur d'y être

Les vins de Mario Chanton et de Sandrine Caloz ont séduit Stephan Reinhardt, le critique du prestigieux magazine «Robert Parker Wine Advocate». Mais au-delà du talent, comment fait-on pour qu’un célèbre prescripteur daigne plonger son nez dans nos cuves?

05 mars 2020, 05:30
Au talent indéniable de la jeune vigneronne de Miège s'ajoutent une pêche d'enfer et de l'audace.

Les critiques les meilleurs ne peuvent déguster tous les vins du monde. Pour faire leur sélection, Parker, Robinson et autres Wine Spectator se basent sur des référents, sorte de rabatteurs, qui font un premier tri pour eux. Rejoindre le cercle très fermé choisi par cette élite relève du parcours du combattant. Pas évident pour un ou une jeune premier(ère) d’y accéder. Parfois, en plus du talent, il faut un coup de pouce du hasard, un peu de chance et une once de culot.

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On se souvient qu’en 2012 Robert Taramarcaz, du Domaine des Muses à Sierre, qui n’était pas au programme du grand dégustateur David Schilknecht, eut la chance que ce collaborateur de Robert Parker goûte pour la première fois sa petite arvine Tradition chez José Vouillamoz. Emballé, il voulut à tout prix rencontrer l’encaveur sierrois pour tester l’entier de...

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