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"Papa, c'est quoi, ces sculptures?"

La Triennale Valais/Wallis 2017 réussit son pari en suscitant le débat sur l’art contemporain. «Le Nouvelliste» a fait un saut à Martigny avec une artiste en herbe.

29 août 2017, 22:24 / Màj. le 30 août 2017 à 05:30
Avec "Borderlines" et ses treillis militaires blancs accrochés aux arbres bordant l'étang du Rosel, Sandrine Pelletier ouvre large le champ des questionnements possibles.

Une tong sur les galets bordant l’étang du Rosel. En fin de semaine dernière, cette image capturée par l’un de nos photographes, Christian Hofmann, lors de la présentation à la presse de la Triennale Valais/Wallis 2017 a, indirectement, créé quelques remous.

Car c’est en toute bonne foi que le preneur d’image avait intégré son cliché à sa galerie de photographies sur l’événement d’art contemporain. «J’ai compris après le téléphone des organisateurs que cette chaussure avait été abandonnée par un passant et n’était pas une œuvre d’art.»

>> A lire aussi: la Triennale 2017 s'arrête au Relais du Saint-Bernard

Le pavé dans la gouille du Rosel a eu le mérite de créer le débat. Ou plutôt de le relancer. Car les passes d’armes autour du bien-fondé, de l’utilité et de la justification de l’art contemporain datent d’aussi loin que la première brèche ouverte par les «ready-made» (littéralement «déjà-faits») de Marcel Duchamp,...

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