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"On a été le plan B de Provins". L'interview exclusive de Philippe et Frédéric Rouvinez

La cave Rouvinez était l’offre valaisanne sur la table de Provins. Ses directeurs Philippe et Frédéric Rouvinez ont accepté de s’exprimer sur ce dossier. Ils sont prêts à revenir à la charge en cas de non des sociétaires à Fenaco.

"Notre offre, c’est désormais du passé. Mais nous estimons que les sociétaires de Provins doivent savoir qu’une solution valaisanne existait." Philippe et Frédéric Rouvinez.

Frédéric et Philippe Rouvinez, votre entreprise a fait partie des quatre offres de reprise de Provins avec Fenaco, Coop et Schenk. Elle n’a pas été retenue par le conseil d’administration de Provins. Vous avez décidé de parler aujourd’hui pour rester dans la course?

Frédéric Rouvinez: Non, notre offre, c’est désormais du passé. Mais nous estimons que les sociétaires de Provins doivent savoir qu’une solution valaisanne existait. Nous respectons son conseil d’administration qui a choisi de leur présenter uniquement l’offre Fenaco, mais nous estimons aussi avoir un devoir de transparence vis-à-vis d’eux.

Quand les transactions avec Provins ont-elles débuté?

Philippe Rouvinez: En septembre, lorsque des rumeurs insistantes prétendaient que Provins n’arriverait pas à payer le solde de la vendange 2018, et ne voyait pas clair pour la récolte 2019.

Avez-vous été surpris par les soucis financiers importants de Provins alors que son ancien président Pierre-Alain Grichting annonçait encore des bénéfices et...

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