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Nicolas Bourquin, un profil fédérateur à la tête du Service valaisan de la chasse

Le nouveau chef du Service valaisan de la chasse entrera en fonction dans un climat serein le 1er mars prochain. Trois semaines après sa nomination à l’un des postes les plus exposés de l’administration, ni les chasseurs ni les milieux de protection de la nature ne formulent de critiques à son encontre. Un atout pour le quadragénaire bernois qui devra faire oublier les polémiques.

07 déc. 2020, 18:00
Avec son profil de biologiste et de chasseur, Nicolas Bourquin convient à la fois aux chasseurs et aux représentants des milieux de la nature.

Le Conseil d’Etat valaisan se savait attendu au tournant. En faisant de Nicolas Bourquin le nouveau chef du Service de la chasse, il a su éviter une nouvelle polémique. En effet, tant les chasseurs que les représentants des milieux de protection de la nature saluent la nomination du successeur de Peter Scheibler, qui partira à la retraite le 1er mars.

A lire aussi : Service valaisan de la chasse: le biologiste Nicolas Bourquin sera le nouveau chef (18 novembre 2020)

Comment comprendre ce petit exploit, quand on sait les divergences de vue fondamentales des deux cercles qui gravitent autour de l’un des services les plus observés de l’administration? Vice-président de la Fédération valaisanne des sociétés de chasse, Benoît Martinet explique la bienveillance des chasseurs par le fait que le nouveau chef de service est l’un des leurs, vu qu’il taquine le gibier depuis une dizaine d’années. «C’était le plus important...

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