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Moins et mieux. La chronique de Noémie Schroeter

30 janv. 2019, 10:00
Noémie Schroeter, étudiante.

Le sujet du minimalisme, comme son nom l’indique, ne se laisse pas introduire par de longues phrases compliquées. Ce mouvement aussi appelé «simplicité volontaire», est une réponse plutôt sensée au capitalisme et permet d’envisager autrement notre rapport aux choses. Il voudrait que l’on réduise sa consommation dans la vie de tous les jours, ainsi que les impacts de cette consommation.

«La consommation de quoi?» se demandera-t-on, à raison, et la réponse à cette question peut se trouver dans à peu près tout ce qui nous entoure. Le minimalisme préconise que l’on choisisse de consommer uniquement ce dont on a réellement besoin: ce choix peut se faire au niveau des vêtements, des possessions matérielles, des produits de beauté, de la nourriture, des voyages etc. Cela signifie, par exemple, ne pas acheter impulsivement un huitième pantalon noir, juste «parce que j’en avais envie et les sept autres sont au lavage» ou ne...

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