8h, ce dimanche matin. Sacré Mister Suisse romande sur les coups de 23h30 samedi soir, au Théâtre de Beaulieu à Lausanne, puis passé par les inévitables séances photos, Lirim Ramosaj n’a dormi qu’une poignée d’heures. Pourtant la voix, sans aucune once de fatigue, est claire. C’est que cette journée de dimanche est celle de multiples obligations contractuelles, photographiques notamment. «La nuit a été un peu courte, c’est vrai. Mais c’est que du bonheur…»
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Un bonheur auquel il ne «(s)’attendai(t) pas». Et que l’avalanche de messages, de la famille, des amis, commence tout juste à rendre réel. «C’est vrai que mon téléphone portable n’arrête pas de sonner», admet Lirim, troisième d'une famille de quatre garçons, dans un sourire que l’on devine large au bout du fil. Tout juste atterri d’une soirée qu’il qualifie d’«impressionnante», le...