Depuis sa création en 1994, c’est la première fois que la Fondation Women World Summit (WWSF) attribue ce prix à une Valaisanne et la sixième fois à une Suissesse.
Dans la grande majorité, ce sont des femmes de pays défavorisés, là où la condition féminine et la dépendance financière poussent les femmes à se surpasser pour survivre, qui sont plébiscitées.
« Attribuer ce type de distinction à une Suissesse, c’est aussi important car ça met en lumière une approche différente de l’agriculture. Ca montre qu’on peut faire autrement pour le bien de la nature. D’ailleurs, il y a beaucoup de femmes qui font un très beau travail dans l’agriculture chez nous. Je pense par exemple à Sofia de Meyer, la co-fondatrice de la Fondation Opaline et à sa démarche de vergers participatifs, ou encore à Marion Granges », a souligné la vigneronne de Fully lors de son discours. Marie-Thérèse Chappaz...