La vigne, le grain, le nectar. Jamais sans le cœur. Marie-Thérèse Chappaz, c’est l’une de ces personnes qui ne peuvent s’empêcher de donner chaque étincelle de leur être pour réaliser ce vers quoi elles tendent. Sans même parvenir à l’expliquer. Le firmament, la Valaisanne l’a déjà atteint à plusieurs reprises. Quand elle a reçu, il y a une année, les plus hautes notes jamais accordées à des vins du pays par le «Wine Advocate» de Parker. Quand, en 2016, Gault et Millau l’élevait au rang d’icône du vin suisse. Ou quand, faisant fi des mauvaises langues du conservatisme, elle parvenait dès 2003 et avec succès à soigner tout son domaine en biodynamie.
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Ses exploits personnels, Marie-Thérèse Chappaz se refuse à les garder pour elle seule. Non, ils doivent servir à quelque chose. A rendre le Valais meilleur. A le tirer vers le haut. Dans ses...