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Les robots en chef de médecine

En médecine, l’intelligence artificielle (IA) devient toujours plus performante, au point de mettre en péril une partie de la profession. Alors, y a-t-il une limite qu’elle ne pourra jamais franchir?

29 janv. 2017, 23:23
/ Màj. le 30 janv. 2017 à 00:01
Le robot aide déjà le chirurgien

Dans les films de science-fiction, il suffit de s’allonger dans un gros caisson pour que s’envolent toutes nos maladies. Du cinéma, certes, mais la réalité n’est peut-être plus si loin. Le 20 septembre dernier, Microsoft a présenté un programme pour vaincre le cancer avant 2026. Le lendemain, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, annonçait un premier financement de 3 milliards de dollars pour éradiquer toutes les maladies connues avant 2100. Comment? Grâce au développement de l’intelligence artificielle (IA).

Big Data d’abord

Cette évolution, le corps médical l’observe attentivement, même en Valais. Lors du congrès Quadrimed, qui s’est déroulé ce week-end à Crans-Montana, plusieurs spécialistes se sont exprimés. Selon eux, il y a une complémentarité nécessaire entre l’homme et l’intelligence artificielle. «Grâce à l’IA, le médecin du futur va pouvoir se concentrer sur des tâches complexes, le cœur du travail, et laisser les ordinateurs s’occuper du reste», explique Jacques Cornuz, directeur...

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