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«Les producteurs de rosés valaisans n’ont aucune excuse. Ils peuvent faire bien mieux que ce qu’ils font aujourd’hui.»

En janvier 2020, dans le cadre d’Agrovina, les spécialistes de la Haute école de viticulture et d’œnologie de Changins présentaient le rosé comme la solution pour assainir le marché du vin suisse. Elizabeth Gabay, spécialiste mondiale de ce type de vins, donne son avis sur nos rosés.

09 sept. 2020, 12:09
Spécialiste du rosé, la master of wine Elizabeth Gabay a fait partie du jury du Mondial des pinots dont les dégustations se sont déroulées à Sierre du 4 au 6 septembre.

En janvier 2020, sous l’impulsion de la Haute école de viticulture et d’œnologie de Changins, le rosé fut la star de la Journée suisse de l’œnologie d’Agrovina. Un choix dicté par le succès remporté ces dernières années par un vin trop souvent méprisé et qui, selon Changins, pourrait relancer la consommation des vins suisses et devenir une porte d’entrée au monde du vin pour les jeunes générations.

A lire aussi: Valais: nos professionnels oseront-ils le rosé pour assainir le marché?

La master of wine Elizabeth Gabay est une spécialiste mondiale du rosé. Nous l’avons rencontrée à Sierre dans le cadre de la dégustation finale du Grand Prix du vin suisse organisé conjointement par VINEA et Vinum. Nous lui avons demandé de plonger son nez dans des rosés valaisans et suisses.

La viticulture valaisanne est en crise. Axer la production sur le rosé pour en sortir, c’est une bonne idée?...

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