A passé cinquante ans, les femmes vivent souvent très mal leur (longue) période de chômage. Plusieurs d’entre elles se plaignent du peu de mesures proposées par les offices régionaux de placement (ORP). Suite aux témoignages de deux quinquagénaires expliquant leur galère pour retrouver du travail (cf. l'article ici), plusieurs Valaisannes ont réagi.
Certaines, qui ont quitté leur travail en raison d’importants ennuis de santé, ont dû se résoudre à «terminer à l’aide sociale» après la fin de leur droit au chômage; d’autres ont reçu l’AI à cause de leurs soucis de santé permanents.
Déçues par les conseils des ORP
Pendant leur période de chômage, toutes ces femmes n’ont pas l’impression d’avoir été entendues. A l’instar de cette dame de 57 ans qui a demandé à l’ORP de pouvoir suivre une nouvelle formation qui l’intéressait et correspondait à ses compétences. «Mais on n’a pas voulu me la financer. Cela...