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Lecture: la sélection du mois du «Nouvelliste»

Un roman du Montheysan Philippe Battaglia, un polar de Stéphanie Glassey qui se déroule à Nendaz et un essai sur l'école signé Stevan Miljevic, les livres valaisans sont à la fête.

04 mai 2019, 11:00
Philippe Battaglia, un auteur fort apprécié qui a créé un personnage que personne n'aime.

«Personne n’aime Simon», de Philippe Battaglia

Simon est un jeune homme haï de tout le monde. Rejeté de la société, il ne trouve grâce qu’auprès de sa sœur et des animaux. Sa vie est chamboulée le jour où sa sœur se trouve aux prises avec une vilaine organisation secrète. Simon va devoir prendre son courage à deux mains et partir au fond des bayous affronter le monde extérieur, en particulier le méchant Vénérable Maître de la Prince Hall Lodge n°50. L'humour absurde cogne à chaque page de ce délicieux roman signé par le boss du Kremlin de Monthey. Avec des illustrations de Ludovic Chappex. Aux Editions L'Âge d'Homme.  En dédicace ce samedi 4 mai dès 13 heures chez Manor à Monthey.

 

«Confidences assassines», de Stéphanie Glassey

Dans quelles circonstances juliette, l’épicière du village, a-t-elle été assassinée à Basse-Nendaz? Aline, la dernière personne à l’avoir vue vivante se suicide par le feu. De ce mystère est né la trame de «Confidences assassines», le premier roman de Stéphanie Glassey. Un polar que l’auteure qualifie plus volontiers de «roman d’intrigue». «Pour moi, l’enquête  a sa place dans l’histoire, mais elle est plutôt un prétexte pour rencontrer des personnages. Ma passion, c’est les gens, l’humain.» «Confidences assassines» (Editions Plaisir de lire) s’engouffre dans les secrets de famille, le récit alternant les passages contemporains et un retour dans le passé, sur les traces d’un autre personnage encore. L’auteur sera en dédicace ce samedi 4 mai de 10 h à 12 h à la librairie du polar du Salon du livre de Genève.

 

 

«L’école à la croisée des chemins», de Stevan Miljevic

Chacun a son avis sur l’école. Elle fait si souvent l’objet de vifs débats, de votations et parfois de controverses, qu’elle semble véritablement l’affaire de tous. Dans cet essai, Stevan Miljevic, enseignant du Secondaire I en Valais, analyse l’opposition entre pédagogie traditionnelle et progressiste et cherche à la dépasser. Sa solution? Une troisième voie, encore méconnue, qui pourrait concilier les avantages de chacune de ces approches. Ce livre s’adresse en premier lieu aux professionnels du domaine, pédagogues, formateurs ou enseignants. Mais pour l’auteur, «la question a une dimension sociétale».

 

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