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"Le tourisme doit avoir un plan B"

Exploitant touristique dans la région Aletsch.

28 févr. 2012, 00:01
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Les exploitants hôteliers souffriront sans doute moins d'un oui à l'initiative. Mais, ils s'en méfient quand même. Art Furrer , lui, a prévu un plan B.

Art Furrer, quel impact aurait une acceptation de l'initiative Weber sur les affaires de votre groupe?

Un impact limité. Nous travaillons principalement dans l'hôtellerie qui ne souffrira pas d'un oui à l'initiative. Personnellement, je pense que nous n'avons pas besoin de nouveaux lits froids. Or, continuer les exagérations des décennies précédentes ne ferait qu'augmenter le problème. Mais, je pense aussi aux gens qui travaillent dans la construction et qui souffriraient d'une acceptation. C'est pourquoi mon coeur balance au sujet de l'initiative. En revanche, dans le Haut-Valais et en Suisse, nombre de personnes avec qui j'ai discuté s'y montrent favorables. Je pense donc qu'elle va passer.

Comment alors réagir?

Il ne sert à rien de larmoyer, il faut agir, préparer un plan B. C'est plus...

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