Le tremblement de terre constitue le plus grand risque naturel auquel est exposé le Valais, selon l’Observatoire cantonal des risques. Or la grande majorité du parc immobilier n’est toujours pas apte à résister à un séisme important. Pourtant ce thème fait rarement partie des débats politiques. La campagne pour les sièges fédéraux qui vient de s’achever n’en a pas fait mention. «Le Nouvelliste» a sondé les dirigeants de parti pour évoquer des solutions.
Autonomie ou sécurité?
Notre enquête soulignait que le canton montre l’exemple pour mettre aux normes parasismiques ses bâtiments publics, mais dans les communes, le travail est plus laborieux et la conscience du danger, parfois, sous-estimée.
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Dans tous les partis l’idée d’un inventaire cantonal des bâtiments publics est bien vue. Cette notion se heurte aujourd’hui aux prérogatives des communes, mais pour la socialiste Barbara Lanthemann, «L’autonomie...