Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Le risque sismique arrive lentement à l’agenda politique

Alors qu’environ 80% du bâti valaisan pourraient ne pas résister à un séisme majeur, les politiques ne sont pas toujours d’accord sur les mesures à adopter pour le sécuriser.

13 janv. 2020, 18:43
Intervention parasismique au collège de l'Europe, à Monthey.

Le tremblement de terre constitue le plus grand risque naturel auquel est exposé le Valais, selon l’Observatoire cantonal des risques. Or la grande majorité du parc immobilier n’est toujours pas apte à résister à un séisme important. Pourtant ce thème fait rarement partie des débats politiques. La campagne pour les sièges fédéraux qui vient de s’achever n’en a pas fait mention. «Le Nouvelliste» a sondé les dirigeants de parti pour évoquer des solutions.

Autonomie ou sécurité?

Notre enquête soulignait que le canton montre l’exemple pour mettre aux normes parasismiques ses bâtiments publics, mais dans les communes, le travail est plus laborieux et la conscience du danger, parfois, sous-estimée.

A lire aussi : Dossier séismes 1/1: un scénario à 10 milliards

Dans tous les partis l’idée d’un inventaire cantonal des bâtiments publics est bien vue. Cette notion se heurte aujourd’hui aux prérogatives des communes, mais pour la socialiste Barbara Lanthemann, «L’autonomie...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias