Pour sa deuxième édition, le Oh! Festival avait misé sur un concept original: proposer aux spectateurs d’emprunter les «Pistes du Oh!», les conduisant d’une salle à l’autre avec les transports publics. L’opération a bien fonctionné, comme le dit Denis Alber, producteur délégué du festival: «Il y a eu beaucoup de monde mercredi et dimanche. Un peu moins jeudi, vendredi et samedi.» De quoi satisfaire les organisateurs.
Vers une troisième édition
Fort de ce joli succès, le festival devrait revenir dans deux ans, dans une configuration inspirée de cette édition 2017. Denis Alber: «Nous aimerions poursuivre, et même amplifier cette idée des pistes: cela permet un ancrage dans le territoire, de découvrir divers lieux culturels, plutôt que de proposer des spectacles dans un théâtre à 19 heures ou à 20 heures. Et les gens adorent ces pistes!»
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