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Le damasson rouge et la Damassine AOP racontés par Georges Wenger

Une petite prune rouge soulève la passion d’un grand chef. On l’appelait pour qu’il nous raconte le totché, ce gâteau à la crème du Jura, au goût acidulé et salé. Mais fidèle à son credo du respect des saisons, Georges Wenger a tenu à nous parler du damasson.

14 août 2018, 12:01
George Wenger et Sylvain Bourquard, distillateur à façon et producteur à Les Bois, en pleine dégustation.

«Il est à pleine maturité en ce moment. Et en plus, ce fruit est un produit extraordinaire. Peu de prunes ont une telle palette aromatique!»

Quand il aime, Georges Wenger ne compte ni son temps, si ses mots. Du damasson rouge, il rêve d’en faire un produit emblématique de l’Ajoie, un peu comme les abricots pour le Valais. «Pour ce qui est de la gastronomie, notre région ne se limite pas à la Saint-Martin», lâche le chef du Noirmont, auréolé de 18 points au Gault&Millau depuis vingt ans, qui a pourtant fait de cette tradition un événement phare de son établissement. Vivre la Saint-Martin chez Georges Wenger est un événement dont nos papilles se souviennent à vie. Mais revenons à nos petites prunes rouges.

Depuis que la Damassine a obtenu son AOP en 2010,
le fruit du damassinier est appelé damasson rouge pour éviter les confusions. DR


Croquer le damasson...

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