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La sécheresse n’affecte pas trop l’air valaisan

L’air que les Valaisans respirent en cette saison subit les effets de la sécheresse, sans que ceux-ci ne soient trop agressifs. Les niveaux de polluants sont plus hauts que d’ordinaire, mais restent dans les limites fixées par la Confédération.

23 oct. 2018, 12:01
L'air valaisan s'en sort plutôt bien au vu des circonstances exceptionnelles de cette année.

Du soleil, toujours du soleil. Et pas une goutte de pluie ni un seul flocon. Le Valais continue de vivre un été indien permanent depuis plusieurs semaines, tout comme un état de sécheresse exceptionnel depuis cet été. Les sols, les glaciers, les fleuves, tous subissent les retours de manivelle d’une météo extrême. Mais qu’en est-il de l’air que nous respirons; bataille-t-il pour rester pur face à un climat qui favorise sa pollution?

Les polluants piégés

En termes de qualité, l’air valaisan s’en sort bien au vu des circonstances. Parce que la sécheresse pousse les polluants à s’accumuler. «Liée à des situations anticycloniques qui mènent à un ensoleillement généreux, la sécheresse forme une stabilisation des masses d’air jusqu’à une certaine altitude, désignée inversion thermique, typiquement comprise de 1000 à 3000 mètres selon les saisons. A l’intérieur, les particules fines et l’ozone sont piégés et se diluent moins», développe Jean-Marc Fracheboud, chef...

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