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La fondation Rives-du-Rhône veut ouvrir un foyer à Crans-Montana

L'ouverture d'un foyer à Lens avait été annoncée pour le premier janvier. Mais la fondation Rives-du-Rhône est toujours en attente de l'autorisation de la commune pour l'hébergement de résidents. Elle projette d'ouvrir une structure à Crans-Montana dès mars prochain. Une demande urgente a été envoyée à Esther Waeber-Kalbermatten.

19 févr. 2018, 08:16
Le foyer de la fondation Rives-du-Rhône voudrait investir ce lieu pour héberger ses résidents en mars.

La Fondation Rives du Rhône a adressé par lettre à Esther Waeber-Kalbermatten, la conseillère d’Etat en charge de la santé, une demande d’autorisation urgente et provisoire pour ouvrir, dès le début mars, un foyer à Crans-Montana - la Fondation le Rosyl - dont la capacité atteint une quinzaine de lits. Elle prévoyait l’ouverture au 1er janvier d’une structure d’accueil. Elle avait d’abord annoncé que ce foyer serait à Lens, mais la commune n’a pour l’heure pas donné son autorisation pour héberger des résidents.
Cette demande d’autorisation provisoire est requise dans l’intervalle de l’examen du dossier et d’un mandat de prestations. «Elle ne sort pas d’une boîte mais résulte de plusieurs facteurs dont la nécessité de répondre à la demande (notre liste d’attente dépasse les dix personnes)», expliquent les dirigeants de la Fondation Rives-du-Rhône.

Douze personnes engagées

Une douzaine de personnes ont été engagées et «le concept thérapeutique a été revisité», précise la fondation. Par ailleurs, la commission médicale est en place et le système de qualité finalisé pour la certification. «Objectif final à terme: accueillir une trentaine de personnes sur deux sites», ajoute la fondation. 

La Fondation Rives-du-Rhône a mis en ligne sur son site une pétition pour qu'elle soit soutenue par l'Etat du Valais.

Parallèlement, la fondation a pris officiellement position sur la nouvelle plate-forme en ligne mise en route en fin de semaine dernière par Addiction Valais. Elle conteste plusieurs points qualifiés de «mensongers» ou de «simplificateurs et discréditants».

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