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La fabuleuse histoire de KeyLemon, la start-up issue de l'Idiap et de la HES-SO Valais

Fondée en 2008 entre l’HES-SO Valais et l’Idiap, la start-up valaisanne a franchi tous les échelons. Spécialisée dans la reconnaissance faciale 3D, elle a séduit les plus grands, dont la multinationale ams. Une success story rarissime !

15 mars 2018, 05:30
Yann Rodriguez et Gilles Florey, les fondateurs de KeyLemon, posent avec un masque à leur effigie. Grâce à la biométrie 3D, le logiciel peut faire la différence entre le vrai du faux.

Ils ont rencontré les plus grands noms de l’industrie électronique et pourtant, plusieurs fois, ils ont failli mettre la clé sous la porte.
En 2006, les Valaisans Gilles Florey et Yann Rodriguez se sont lancés dans une aventure un peu folle: créer une entreprise active dans la reconnaissance visuelle pour déverrouiller téléphones et ordinateurs. A ce moment-là, le premier iPhone n’était pas encore sorti d’usine.

Il y a quelques semaines, les deux cofondateurs de KeyLemon ont annoncé l’improbable. La petite start-up valaisanne développée dans le cadre du programme Business Experience de la HES-SO Valais s’est fait acquérir par la multinationale ams, principal fournisseur d’Apple, qui produit des capteurs ultrasensibles. Entre manœuvres fines et technologie de pointe, retour sur la fabuleuse histoire de KeyLemon.

Premier succès

Dans le cadre du programme Business Experience de la HES-SO Valais, quatre étudiants, dont Gilles Florey, débutent une collaboration avec Yann Rodriguez, chercheur à l’Idiap...

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