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L'interview musicale d'Esther Waeber-Kalbermatten

Cet été, "Le Nouvelliste" donne la parole à des personnalités romandes qui nous livrent leurs coups de coeur musicaux.

31 juil. 2017, 14:47
/ Màj. le 01 août 2017 à 16:30
Esther Waeber-Kalbermatten, présidente du gouvernement valaisan.

Plutôt Paléo, Montreux ou Verbier?
Tant Montreux que Verbier me plaisent beaucoup.
 
Au premier rang ou accoudée au bar?

Au premier rang sûrement, afin de mieux voir les musiciennes et musiciens.
 
Le concert de votre vie?

Dans le cadre du Festival d’Ernen de cet été, j’avais assisté au concert de jazz du Trio Charl du Plessis qui avait interprété de la musique classique en jazz et Rachel Harnisch avait chanté différents airs d’opéras. Ce fut un moment fort !
 
Celui que vous avez raté?

L’opéra Rigoletto à Saint-Gall en 2012, où le baryton italien Paolo Gavanelli, spécialisé dans  le rôle de Rigoletto, chantait. J’irais volontiers le voir et l’écouter dans ce rôle à l’occasion.
 
La chanson ou le morceau qui vous met en transe?

J’admirais les Beatles en tant qu’adolescente et quand j’entends leurs chansons aujourd’hui, les souvenirs de ma jeunesse refont surface et je les apprécie encore maintenant.
 
Celle de votre enfance?

La chanson "Hey Jude" des Beatles.
 
L’artiste ultime?

Il y a tellement d’artistes exceptionnels, ne serait-ce qu’en Valais, qu’il est injuste de ne citer qu’une seule personne.
 
Un groupe ou chanteur valaisan?

Sina (de Gampel). Ses pop-songs en dialect, écrites par elle-même, me plaisent beaucoup.
 
Si vous étiez un artiste, vous seriez qui?

Enfant, je dessinais. Maintenant, j’opterais de préférence pour la peinture.
 
Votre dernier slow?

Jeudi passé, après un bon souper, à l’hôtel Pirmin à Saas-Almagell.
 
Si vous étiez un instrument?

La harpe par la diversité des sons et sa caisse de résonance m’attire particulièrement; donc j’aimerais bien être une harpe.

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