Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

L’alibi médical d’un accusé dans l’affaire Darbellay en Valais

L'un des trois accusés dans l'affaire des fausses affiches Darbellay de 2017 avance un alibi: il était accidenté et dans l'incapacité de coller ces affiches au moment des faits.

01 juin 2018, 08:36
L'affiche incriminée, diffusée durant la campagne électorale 2017

Coaccusé dans l’affaire des fausses affiches qui stigmatisait en 2017 le père de Christophe Darbellay, l’ancien président de la section contheysanne de l’UDC du Valais romand affirme avoir un alibi qui le disculperait. Selon son avocate, il était dans l’impossibilité de participer à l’opération de collage des affiches incriminées.

Lui et deux autres membres de l’UDC du Valais romand soupçonnés d’être les auteurs de l’affiche ont été inculpés de calomnie par le Ministère public valaisan (Le Nouvelliste du 24 mai).

A lire aussi : Fausse affiche Darbellay: trois UDC inculpés en Valais

Le bras en écharpe

Avocat des trois prévenus, Michel Ducrot, Jean-Luc Addor et Regina Andrade Ortuno indiquent que leurs clients nient toute implication. Et Me Andrade, l’avocate vaudoise qui défend l’ancien président de l’UDC Conthey, d’avancer un alibi pour son client.

«Non seulement il conteste toute implication, mais il peut le prouver. En effet, le jour de cette...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias