Pour son livre paru en 2017, «Faire le garçon», l’écrivain valaisan Jérôme Meizoz a reçu l’un des sept Prix suisses de littérature la semaine dernière. Il revient sur cette consécration.
Quelle est votre impression et que va changer concrètement ce prix pour votre livre et pour votre parcours d’écrivain?
Je suis ravi de recevoir ce prix, très inattendu pour moi. C’est le seul prix d’envergure nationale, il est donc très important pour les auteurs. Cela permet une tournée de lectures dans dix villes de Suisse, et peut favoriser la traduction du livre en allemand (en février) et peut-être en italien. Disons que ce prix donne une audience nouvelle et plus large au livre, et récompense aussi un projet littéraire à long terme.