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«Il n’y a pas de malade à cause du mercure.»

17 nov. 2017, 23:24
/ Màj. le 18 nov. 2017 à 00:01
Sion - 5 décembre 2016



EPFL. Deuxième phase de l'implantation de l'EPFL en Valais, en présence de Patrick Aebischer (président EPFL) et du Conseil d'Etat du Valais in corpore.

Ici Jacques Melly, conseiller d'Etat



Sabine Papilloud/Le Nouvelliste

Interpellé hier par Jérôme Desmeules (UDC) sur l’affaire de la pollution au mercure dans le Haut-Valais, le conseiller d’Etat Jacques Melly a déclaré devant le Grand Conseil qu’il n’y avait «aucun cas de maladie contractée en raison de la pollution au mercure». Le président du gouvernemnet a rappelé hier qu’une étude menée par l’Université de Zurich a permis de conclure qu’il n’y avait pas plus de mercure dans les urines et les cheveux des habitants de la région touchée par la pollution au mercure que dans le reste de la population.Jacques Melly a toutefois informé le Parlement que le préposé cantonal à la protection des données, Me Sébastien Fanti, avait transmis au Tribunal cantonal, dans le cadre de la procédure en transparence qu’il a gagnée, une information indiquant qu’un médecin l’avait contacté pour signaler que des personnes étaient malades en raison du mercure. Ce médecin parle même «d’une épidémie» causée...

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