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Glacier sous surveillance

Le glissement de terrain de l’an dernier se stabilise peu à peu, mais le risque sur l’ensemble de la zone reste toujours élevé.

11 oct. 2017, 23:50
/ Màj. le 12 oct. 2017 à 00:01
Risse im Boden waehrend dem Besichtigungsflug beim Bergrutsch im Gebiet zwischen Moosfluh und dem Aletschgletscher, auf der Riederalp im Wallis, am Mittwoch, 11. Oktober 2017. Der Bergrutsch auf dem Gebiet der Moosfluh, auf linker Hangseite in Fliessrichtung des Aletschgletschers, hat sich im Sommer 2017 stabilisiert, bleibt aber immer noch aktiv. Die sich bewegende Gesteinsmasse, bewegt sich immer noch einige Millimeter pro Tag auf dem Gebirgskamm Moosfluh und ueber 20 cm pro Tag auf der Talseite. Dieser Bergrutsch wird vom Kanton und Bund seit September 2016 intensiv ueberwacht. (KEYSTONE/Dominic Steinmann) SCHWEIZ RIEDERALP FELSSTURZ BESICHTIGUNGSFLUG

V Un an après le glissement de terrain de Moosfluh sur la rive gauche du glacier d’Aletsch, la surveillance de la zone reste accrue. «Un observateur se rend tous les jours sur le terrain», note le géologue cantonal, Raphaël Mayoraz. Nous disposons également d’un réseau d’antennes GPS, de géophones et de trois webcams que l’on pose à double pour assurer le maintien de la surveillance.» Un bilan de la vitesse de glissement est également dressé quotidiennement. Les données indiquent que la masse en mouvement se stabilise peu à peu. Sur la crête de Moosfluh, elle est passée de 20 centimètres en octobre 2016 à 0,5 centimètre par jour aujourd’hui. «D’un point de vue géologique, ces vitesses restent importantes, surtout vers la partie basse (ndlr: le mouvement dépasse les 20 centimètres par jour et engendre des écroulements ponctuels). Par rapport à l’année dernière, on passe d’une grosse à une petite crise»,...

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