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Festival #36H: Faraj Suleiman, des touches d’Orient à la Ferme-Asile de Sion

Le pianiste et compositeur palestinien ouvre le festival #36H, ce vendredi dans le lieu culturel sédunois. Dans son monde, il marie le souffle arabe au jazz et au tango.

22 nov. 2018, 12:02
Le Palestinien Faraj Suleiman fera entrer le public de la Ferme-Asile dans un voyage intérieur.

Expérience onirique et voyage émotionnel. Ce vendredi à la Ferme-Asile, l’air sédunois fleurera celui de l’Orient. Faraj Suleiman, pianiste et compositeur palestinien, emportera le public dans une bulle où l’ADN musical arabe drague habilement les couleurs occidentales.

Né en Galilée, Faraj Suleiman débute le piano à 3 ans, après que sa famille a vite repéré chez lui une sensibilité particulière à la musique. Il mène même son premier concert à 5 ans. «Au début, je n’avais pas du tout envie de faire du piano. Je ne rêvais que de foot. J’ai donc fait une longue pause de plusieurs années», raconte l’artiste.

Trouver son langage

Puis, après l’école supérieure, la passion le pique de nouveau et ne cessera plus de le faire. «A 20 ans, alors que j’étudiais la musicologie, j’ai recommencé à jouer. Tout seul. Je jouais des heures et des heures, pour trouver le langage musical que je voulais...

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