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Fédérales 2019: une élection à 2400 listes

A 48 heures des résultats, Vincent Fragnière, le rédacteur en chef du «Nouvelliste», explique pourquoi l’élection au Conseil des Etats et celle au Conseil national n’ont jamais été aussi liées en Valais. Avec, pour le National, au moins quatre enjeux à 2% dont l’issue dépendra certainement du degré de mobilisation des différents partis.

18 oct. 2019, 05:30
Vincent Fragniere, rédacteur en chef du Nouvelliste.     Sabine Papilloud/Le Nouvelliste

Pour le Valais, les élections fédérales peuvent théoriquement déboucher sur deux moments historiques. Au Conseil des Etats, le canton élira soit la première sénatrice, soit le premier non PDC de l’histoire. Et au Conseil national, il pourrait se retrouver avec son premier élu vert. Pourtant, pour l’instant et après une campagne peut-être trop calme, le taux de participation est relativement bas. Dimanche, on devrait avoisiner les 55% plutôt que les 59% de 2015 malgré un record de candidates et candidats. Ou peut-être justement à cause de ce trop grand nombre qui a rendu la compréhension de la campagne plus difficile.

Deux élections très liées

Mais celle-ci comporte déjà un volet unique, puisque c’est certainement la première fois que les deux élections – celle aux Etats et celle au National – sont autant liées. En effet, si en 2011, le PLR Jean-René Germanier, le PS Stéphane Rossini ou l’UDC Oskar Freysinger...

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