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«En politique, le président, c’est l’entraîneur»: le testament politique et humain de Serge Métrailler

Il aura régné six ans durant sur la destinée du PDCVr. Six ans de passion, d’élections, de grandes affaires et de petites bisbilles. Six ans de relations humaines hors norme et d’événements politiques passionnants. A l’heure de passer la clé de son «petit royaume» à Joachim Rausis, Serge Métrailler raconte.

Serge Métrailler aura présidé le PDCVr durant six ans.

C’est vrai alors, on ne vous appelle plus depuis que vous n’êtes plus président?

On m’appelle moins. Durant mes six ans de présidence, j’ai parfois passé jusqu’à dix heures par jour au téléphone. L’année dernière, j’étais à 5 h 30 de moyenne alors oui, ça change.


Etait-ce pour se plaindre qu’on vous téléphonait?

On m’appelait pour une multitude de raisons. Beaucoup de sollicitations médiatiques et les gens ont plaisir à parler avec le président, à venir prendre des informations, à en donner. C’est assez fou, mais passionnant de sentir cet intérêt de la base pour la vie du parti.

Notre manière valaisanne de faire et de vivre la politique passionne la Suisse tout entière.


Vous avez dans votre répertoire les numéros des 3000 membres du PDCVr?

Non, évidemment, mais j’en ai côtoyé beaucoup. La part publique de la fonction de président m’a toujours étonné. D’autant plus lorsqu’on est président de...

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