Purée, elle est superbe. Belle, magnifique. Bien davantage que sur les photos où elle bande le muscle huileux et bronzé pour en faire des tonnes. Pour montrer. Pour gagner. Pour être la plus. La meilleure. La plus «définie» – comme ils disent des bodybuildeuses.
Fanny Clavien, c’est un shot de superlatifs. D’entrée. Vlan. Rentre dedans. De la niaque qui cogne. De l’énergie qui bouscule. De la plastique qui chamboule et une assurance en béton armé qui désarme.
Fanny, c’est un caractère, mais aussi une tronche. Une de celles que certains publicitaires rêveraient de s’approprier. Mais l’athlète ne veut pas devenir une influenceuse étendard à tee-shirt ou gourdes en plastique. Sa vie sur les réseaux, elle la discipline autant que la vraie dans la salle de sport.
Pour la résumer, en commençant par la fin: elle a des ambitions sans limites. Lorsqu’on conclut l’entrevue en lui demandant si elle n’aurait pas...