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École gratuite: «Nous ferons tout pour éviter une école à deux vitesses», affirme Jean-Philippe Lonfat

Un arrêt fédéral, datant de fin 2017, impose la gratuité totale de l’école. Celle-ci aura des incidences pour les collectivités publiques valaisannes. Le dossier est complexe en raison de l’hétérogénéité des pratiques communales. Quelles solutions trouver? Quels sont les risques pour l’école valaisanne? Réponses avec Jean-Philippe Lonfat, chef du Service de l’enseignement.

25 sept. 2018, 05:30
Jean-Philippe Lonfat, chef du Service de l’enseignement: «L’école valaisanne ne connaissait pas de souci avec ces prises en charge avant cet arrêt qui soulève de nombreuses problématiques.»
Une série en trois épisodes sur l’école gratuite

Un arrêt fédéral, datant de décembre 2017, impose la gratuité de l’école obligatoire. Comment le canton va-t-il mettre en vigueur cet arrêt? Avec quelles conséquences pour l’école valaisanne? «Le Nouvelliste» fait le tour de la question.

Mercredi, dernier épisode: l’école est déjà gratuite à Chippis.

Chef du Service cantonal de l’enseignement, Jean-Philippe Lonfat va au-devant d’une année chargée. Il préside un groupe de travail qui doit mettre en œuvre l’arrêt fédéral de décembre 2017, exigeant la gratuité totale de l’école obligatoire. Les particularités valaisannes en font un dossier complexe.

Quel est l’enjeu de cet arrêt du Tribunal fédéral?

L’objet de cet arrêt ne constitue que le sommet de la pointe de l’iceberg de la gratuité de l’école, puisque les collectivités publiques investissent beaucoup pour la formation. La gratuité ne peut être abordée que par la problématique des fournitures scolaires. Elle est beaucoup...

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